Face à la menace que la pollution plastique fait peser sur les écosystèmes, il est nécessaire de revenir au vivant, insiste Joël Bréard, professeur des universités en physique des matériaux du Laboratoire ABTE – revenir au territoire, à l’humain et à nos relations avec les microorganismes. C’est ainsi que nous pourrons limiter l’empreinte écologique de nos consommations et envisager des solutions véritablement soutenables. Article disponible ici